Habitat de Mathieu [Rés.]

Brunos le regardait sans bouger en attendant qu'il lui redonne un indice. Cool alors en plus il allait en avoir deux mais ça ne l'aiderait pas. En tout cas pour ne pas l'aider, il avait raison bien que Brunos se faisait quelques idées. Lui souriant à pleine dent, il posa sa tête sur son épaule et soupira légèrement mais pas d'ennuie.

- Moi aussi j'ai hâte que tu puisse le faire mais pas aujourd'hui, je suis claqué...

Lui mordille légèrement le cou pour le taquiner puis se redresse comme s'il avait une idée en tête. Il prit la barre de savon et commença à se nettoyer.

-''daccord, je vais attendre alors''

Il ricanna un peu en le sentant lui mordilla son cou pour le taquiner. Brunos était vraiment quelqu'un de génial. Il s'approcha et l'embrassa tendrement

-''Je vais devoir y aller moi, je travaille dans une heure environ''

En entendant qu'il travaillait dans une heure environ, Brunos le regarda et fit un petit grognement déçu. Lui qui aurait pensé pouvoir passer un peu de temps avec Mathieu. Tenant toujours la barre de savon, il commença alors à la promener sur le corps du jeune homme pour le nettoyer avant qu'il aille travailler. L'embrassant une autre fois, il plongea son regard ténébreux dans le sien.

- Quand est-ce qu'on se revoit?

Il rigola un peu en entendant le grognement de Brunos.

*Comme ça il veut me revoir c'est ça ?*

Il sourit puis se laisse laver tranquillement par Brunos qui s'était empressé de l'embrasser en le lavant pour ensuite lui demander quand est-ce qu'ils se reverraient

-''Je vais te laisser mon numéro, comme ça tu m'appelleras un jour et on arrengera quelque chose''

Brunos appréciait beaucoup Mathieu et il voulait le revoir. Surtout qu'il était énormément curieux de voir ce qu'il avait en tête. Souriant, il continua de le laver avec la barre de savon puis il déposa un baiser sur ses lèvres et plongea son regard ténébreux dans le sien.

- Super parce que je suis vraiment curieux et je ne crois pas que je pourrai attendre longtemps.

Lui souriant toujours, il lui mordilla la lèvre inférieure.

Il se laissa laver en rigolant un peu. Il trouvait ça assez drole de se faire laver, surtout par un aussi beau mec. Il le regarda et l'embrassa tendrement puis l'écouta ensuite parler.

-''Moi aussi j'ai hate de recommencer''

Il lui sourit puis le regarda dans les yeux

-''aller, je dois y aller moi''

Il sortit de la douche puis commença à s'essuyer

Brunos le regarda sortir de la douche. Il mis du savon dans ses mains et il passa rapidement ses mains sur lui pour se rincer. Une fois à l'extérieur, il passa un rapide coup de serviette sur son corps puis il accota son bassin contre celui de Mathieu en le faisant se pencher vers l'arrière sur le comptoir. Il l'embrassa langoureusemnt puis se recula en lui lançant un clin d'oeil. Il se rhabilla et dit en même temps;

- Ton numéro et de téléphone et je te laisse filer.

Il avait mit son boxer et son pantalon puis se fit soudainement pousser contre le comptoir. Il le regarda en souriant puis se laissa embrasser. Brunos était vraiment génial. Il le repoussa un pour pour pouvoir se remettre debout normallement et pas penché par en arrière. Il souria puis mit son gilet

-''T'as un stylo quelque part ?''

Une fois rhabillé, il se releva et regarda Mathieu d'une façon plutôt étrange. Il sourit puis fit un petit rire honnête. C'était assez bizzare de se faire poser se genre de question alors que l'on n'était pas chez soie.

- Tu sais c'est plutôt moi qui devrait te poser cette question puisque nous sommes encore chez toi et pas besoin de crayon, ma main va suffir.

Il ne comprenait plus trop trop ce que venait de lui dire Brunos puis se rappella finallement qu'il était chez lui. Il eut un petit rire moqueur de lui-même et se sentit vraiment stupide pendand un très long moment.

-''oui, ta main sufira, mais il faut quelque chose pour l'écrire dans ta main''

Il rigola

-''Désoler, je suis un peu perdu là...probablement trop fatigué''

*comme toujours quoi...*

Il sortit de la salle de bain puis alla chercher un crayon puis revient. Il mit sa main sur son front

-''oh Brunos...''

Il se sentait affreusement mal. Il eut un étourdissement puis tout d'un coup, il tomba par terre sur le sol, évanouit

- Oui biensûr.

Il n'allait certainement pas l'écrire avec de l'eau ou encore avec son imagination. Brunos aurait pu demander à Mathieu son numéro sans papier mais il ne voulait pas prendre la chance de l'oublier!

- C'est normal je te pardonne.

Lui aussi il était souvent disons... perdu à cause de la fatigue que lui procurait son boulot donc. En entendant son nom, il tourna la tête vers lui en lui demandant ce qu'il voulait puis il le vit tomber.

- Mathieu!

Accourant vers lui, il s'agenouilla à côté et posa sa main sur son front. Il le prit dans ses bras et alla le déposer sur le lit. Il se dépêcha d'aller dans la salle de bain, cherchant dans tout les armoires pour en sortir un bout de tissu qu'il mouilla. Il revint rapidement vers le lit puis il la déposa sur son front sans le quitter des yeux.

- Bordel.

Il s'était laissé porter par Brunos sans bouger. Il respirait encore mais sans bouger, mais son poulx s'était rallentit et sa respiration était rendu plus dificile. Il n'avait pas bougé quand Brunos lui avait déposé la serviette. En fait, c'est quelque chose qui lui arrivait souvent quand il était jeune, une sorte de maladie qui fesait qu'il s'évanouissait souvent, mais ça ne l'avait pas fait depuis au moin un an déja...

Brunos était peut-être policier mais il était loin d'être infirmer. Il le regardait toujours inquiète et il ne savait vraiment pas quoi faire. l regarda autour de lui paniqué puis jeta un regard suppliant à Mathieu.

- Aller stp réveil toi Mathieu...

Il posa sa main sur son bras en épongeant toujours son front puis il attrappa le téléphone pour appeler les urgences.

- Tien bon une ambulance arrive.

Environ quatres ou cinqs minutes plus tard, Mathieu bougea un peu. Il ouvrit un tout petit peu les yeux puis remarqua une silhouette devant lui. Il ne voyait pas très bien qui c'était. Il entendit ensuite un son....une sirène...une sirène d'ambulance. Il ouvrit encore un peu plus les yeux

-''brunos ?''

Brunos était toujours à côté de lui quand il se sentit légèrement plus soulagé. Une ambulance arrivait, il entendait la sirène. En entendant son prénom, il tourna la tête vers Mathieu et il sourit en le voyant réveillé mais il n'était pas très rassuré. Il posa sa main sur son épaule.

- Tu m'as fais une de ses peurs! L'ambulance est dehors...

Il se remit assit puis regarda encore un peu autour de lui. Il le regarda

-''Qu'est-ce qui c'est passé ?''

Des ambulanciers arrivèrent puis regardèrent Brunos et Mathieu

Ambulancier : -''Qu'est-ce qu'il y a ?''

Brunos regarda Mathieu qui se demandait ce qui s'était passé. Disons que Brunos aurait compté sur lui pour lui en dire plus mais apparement il ne savait pas non plus.

- Tu t'es évanoui alors que tu allais écrire dans ma main tes...

Mais les ambulanciers arrivèrent. Brunos topurna soudainement la tête dans leur direction puis il regarda à nouveau Mathieu, inquiète.

- Il s'était évanoui et il ne se réveillait pas...

Il regarda encore les ambulanciers puis comprit ce qui c'était passé quand Brunos lui expliqua

-''Tout va bien, vous pouvez partir''

Les ambulanciers repartirent puis Mathieu regarda Brunos

-''Ça m'était pas arrivé depuis longtemps, c'est pour ça que je t'ai pas prévenu, ça m'arrivait souvent avant, faut pas tu t'inquiète''

Brunos n'était pas rassuré que c'était une bonne idée de les laisser partir mais il ne dit rien pour les en empêcher. Il aurait préféré que Mathieu y aille pour faire sur qu'il n'ait rien. Brunos plongea son regard sur lui et ne bougea pas, pensif. Il hocha la tête et haussa les épaules.

- Si ça t'arrive souvent, c'est que ce n'est pas normal, je devrais justement m'inquièter...

-''Ça va aller Brunos, quand j'étais jeune ça m'arrivait souvent, et je suis allé à l'hopital pendant plusieurs années pour esseyer pleins de traitements différents mais ça n'a jamais marcher. J'ai arrêté d'aller à l'hopital quand ça s'arrêtait graduellement. Ça fait au moin un an que ça m'est pas arrivé, c'est pas si grave. Il faut juste espérer que je me cogne pas la tête sur le coin d'une table ou quelque chose du genre''

S'il avait prit des traitements et qu'il était resté tout se temps dans un hôpital, c'est qu'il avait quelque chose mais quoi? Il allait lui demandé ça c'était certain. Brunos le regarda encore un peu puis baissa les yeux en hochant la tête.

- Ouais je vois sauf que c'est quoi que tu as?

Brunos se releva et alla chercher un bout de papier et le stylo sur le sol puis il revint et s'assoya à côté de lui pour lui tendre, un petit sourire sur les lèvres.

- Fais moi plaisir... ne va pas travailler aujourd'hui.

Il soupira. En fait, il ne savait même pas lui-même ce qu'il avait. C'était un nom de maladie un peu trop dur pour lui à se rappeller. Il ne savait pas grand choses.

-''Je sais pas trop c'Est quoi, je sais juste que c'est un problème par rapport au flux électriques qui passe mal de temps en temps au plus haut point de ma collonne vertébrale, quelque chose comme ça''

- Et il n'y a pas moyen d'arranger ça?

Demanda-t-il en arquant un sourcil. Brunos se sentait un peu coupable. Si ça n'avait pas arrivé depuis environ un an, pourquoi ça arrivait maintenant alors que c'était Brunos qui était avec lui? Quelle était la raison? Se passant une main dans les cheveux, il le regarda et se risqua une autre question.

- Et est-ce que c'est... dangeureux?

Il fit un petit non de la tête

-''Les médecins n'ont jamais trouvé un moyen de guérir ou stopper cela. Il parraîtrait que c'est autant psychologique et maladique (ça se dit ?? lol).''

Il le regarda se passer la main dans les cheveux. Il avait l'air de s'inquièter pour Mathieu beaucoup plus que Mathieu le fesait pour lui-même

-''C'est pas supposé être dangeureux..en fait, ils me l'ont jamais dit. Si ça l'est, c'est mes parents qui le savent''

(Je ne crois pas mais pas grave)

Psychologique. Brunos se demandait bien comment ça pouvait être psychologique se truc là! Ça semblait être véritablement une maladie et pas un truc psychologique. Ne disant rien à la première réplique, il hocha la tête un peu rassuré à sa deuxième. En fait Brunos était inquièt et il ne pouvait pas le nier. Étant policier, il gérait normalement les situations mais dans ces cas là, il ne la contrôlait pas et il détestait.

- Je vois...